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« Il a toujours souvenu à la sagesse de Nos prédécesseurs, comme aussi il a toujours été leur devoir, tandis qu’ils gardaient le silence à de certains moments, d’exprimer en toute liberté, à d’autres moments, la Parole entière de Dieu. De ce devoir, il ne faut pas que Nous soyons, Nous-même, détourné par la notion de Notre propre faiblesse et ignorance ; mais plutôt il faut que Nous ayons confiance que celui qui Nous a placé sur ce trône daignera parler par Notre bouche, et faire servir Nos paroles à sa gloire.

« En premier lieu, donc, il est nécessaire que Nous fassions connaître notre sentiment sur ce mouvement nouveau, comme on l’appelle, qui a été inauguré, de nos jours, par les maîtres du monde.

« Certes, Nous ne négligeons ni ne dédaignons les bénédictions de la paix et de l’union : mais Nous ne pouvons pas, non plus, oublier que la présente apparition de ces choses sur la terre a été le fruit de maintes autres chaises que Nous avons condamnées. Et c’est cette apparence de paix qui a trompé maints pommes, les amenant à douter de la promesse du Prince de la Paix ; que c’est par lui seul que nous aurons accès au Père, Cette paix véritable qui doit nous être donnée né concerne pas seulement les relations des hommes entre eux, mais aussi les relations des hommes avec leur Créateur : et c’est sur ce point nécessaire que les efforts actuels du monde se trouvent avoir échoué. Et, eu vérité, il n’est