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FABLE XLIII.




DONNE moy, dit le Singe en parlant
 au Renard,
La moitié de ta queuë : Il iroit trop du
 noſtre,
Dit-il, & j’aurois tort ſi je t’en faiſois
 part ;
Ce qui convient à l’un ne convient pas
 à l’autre.