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VI
Le lendemain, M. John Pipe était alerte et guilleret. À Barbet qui lui demanda :
— Avez-vous passé une bonne nuit ?
Il répondit :
— Oh ! merci. Aujourd’hui je suis bien heureux.
D’abord, de quitter Sheffield.
Ensuite d’avoir lu le journal, qu’il traduisit en ces termes à Barbet : « Fritz battu. Trois villages capturés. Deux mille cent prisonniers… et on continue de compter ! »
Enfin, on prenait le train pour Glasgow, et cette fois on eût dit que c’était M. John Pipe l’invité, tant il avait de désir et de curiosité. — Glasgow !