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IV
La comtesse était seule dans son salon, lorsqu’on m’annonça vers les trois heures de l’après-midi.
Elle m’accueillit par ces mots :
— Tiens ! vous n’êtes donc pas mort, vous !
— Pas tout à fait, madame ; l’aviez-vous entendu dire ?
— Non, mais en ne vous voyant plus, on aurait pu se l’imaginer.
— Je vous croyais, comtesse, à la campagne à ce moment de l’année, c’est ce qui m’a empêché de…
— Si vous me croyiez à la campagne, dit-elle en m’interrompant, qu’est-ce qui vous à fait penser que j’en étais revenue ?
— J’ai eu le plaisir de vous apercevoir, ces jours passés, aux Champs-Élysées.