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Mme Marie Gérin-Lajoie

Au Congrès de la Langue française, le 30 juin 1912, dans un travail sur la langue française. (Voir rapport de ce Congrès.)

À l’École d’Enseignement supérieur pour les jeunes filles, en 1912, sur l’Organisation sociale chez les femmes. (Voir la Bonne Parole, octobre 1913.)

Devant l’Association des femmes d’affaires, en mai 1914, sur les Devoirs et les Responsabilités qu’imposent à la femme le droit de vote.

Au Congrès de l’Association canadienne de la Santé publique, en septembre 1916. (Voir la Bonne Parole, octobre 1916.)

Au premier Congrès des Cercles de fermières de la province, en novembre 1919, où elle a obtenu l’affiliation de ces cercles à la Fédération Nationale.

Devant l’Association professionnelle des employés de manufactures, le 18 avril 1920, sur la part de l’ouvrière dans les questions sociales actuelles.

Au Congrès de la première Semaine sociale, en juin 1920, sur le travail des femmes et des enfants dans la province de Québec. (Voir la Bonne Parole, septembre 1920.)

Au Congrès de la Ligue des femmes catholiques du Canada, le 19 juin 1920.

Et à Québec, en deux circonstances : à l’Institut Canadien et à l’École Normale, sur des questions d’intérêt féminin.[1]

  1. Il faut lire aussi ses excellents articles sur les questions sociales actuelles et sur les questions féminines dans le Journal de Françoise et dans la Bonne parole.