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À minuit, l’Orient-Express nous emportait et huit heures plus tard nous déposait à Paris.

Notre grand voyage était terminé. Nous en avons prolongé les joies en essayant d’en fixer les impressions.

Mes compagnons ne me contrediront pas étant de ceux qui pensent comme Goëthe qu’« il est inutile de parler de ce que l’on admire si ce n’est pour le faire avec une partialité pleine d’amour ».