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Note C (Page 16).


Le jardin que supportait la voûte de la salle des Thermes, a été détruit, lorsqu’en 1820, on éleva au-dessus de ces belles ruines une vaste toiture destinée à les protéger à l’avenir contre les ravages du temps (Voyez la note B). Bien qu’on ne puisse qu’applaudir à cette mesure, qui assure la conservation d’un des plus curieux monumens de notre capitale, il faut avouer que cet édifice a perdu, en partie, son aspect pittoresque, depuis qu’il n’est plus couronné, comme autrefois, de fleurs et de verdure. Ajoutez à cela que les prétendues restaurations de la salle des Thermes ont été exécutées avec fort peu de goût.



Note D (Page 18).


Ces souterrains qui, ainsi que l’a reconnu M. de Caylus, descendaient jusque sur les bords de la Seine, s’étendaient sous l’hôtel de Cluny : ils se prolongeaient même sous l’ancien couvent des Mathurins, comme on en a acquis la preuve en 1676.