reviseur a ajouté ce mot dans l’interligne, entre France et a. — 738 Le second hémistiche a été gratté. Après host une seconde main a mis suvent e menu reguarded. — 745 l’ot ajouté au-dessus de la ligne. — 770 Ce qui suivait destre sur la ligne a été gratté. C’est une seconde main qui a écrit, comme second hémistiche, quant reçut le bastun. — 774 Anpres — 778 Il y a entre jugee et sur un espace gratté où ont pu tenir deux ou trois lettres. — 802 L’ I de entrels, le t de eslisent sont très indistincts. — 804. p. les deserz e — 816 Les mots a grant dulur sont écrits sur grattage en caractères plus petits que le reste, d’une autre encre et peut-être d’une autre main. — 817 lius — 820 Dunc le remembret — 827 frrancs. — 836 angl’e — 838 Une seconde main a écrit la au-dessus de la ligne, entre a et rereguarde. — 844 Guens — 869-870 Deux vers intervertis par le scribe, qui a réparé sa distraction en mettant à la marge b en regard du v. 870, a en regard du v. 869. — 946 Après respundent, au-dessus de la ligne, on lit sire, qui a peut-être été ajouté par la première main. — 956 entre quascaz marine — 990 per manque — 993 Les deux dernières syllabes de sapide ont été écrites sur grattage par une seconde main, qui a aussi repassé à l’encre le v de veie au v. 986, le c de creire au v. 987. — 995-6 Ces vers se présentent ainsi dans le manuscrit : Tuit li plusur en sunt saraguzeis et, à la ligne suivante : Dublez en treis, lacent lor elmes mult bons sarraguzeis. — 1017 La fin du vers a été grattée et une seconde main, après pui, a mis haut muntez. — 1018 su destre : une seconde main a ajouté un z à su. — 1044 avrez a été ajouté au-dessus de la ligne. — 1061 Dans l’interligne on lit tut : od [tut] sun barnet. — 1120 ta manque — 1123 On lit sur cette ligne : E purrunt dire que ele fut a noble vassal. Les mots E (écrit en marge) et dire (écrit sur grattage) sont d’une autre main que le reste. — 1136 Le scribe, qui avait écrit Franceis cendent, s’est corrigé, mais incomplètement, en écrivant dans l’interligne de au-dessus de cendent. — 1165 Le scribe a mis suef pas
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