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plus. MERKENS Adieu, mademoiselle. JUDITH Adieu, monsieur. MERKENS, à la porte. Il n’y avait rien de mieux à lui dire.


Scène II

I

JUDITH, MARIE. MARIE Eh bien ? JUDITH Eh bien, si M. Merkens a raison et si les choses se passent comme il le dit, nous ne sommes pas au bout de nos peines. En attendant, voilà tous mes projets renversés, ceux que tu connais d’abord… et un autre que je gardais pour moi. MARIE Quel autre ? JUDITH À quoi bon te le dire !