La femme paraît au haut de l’escalier :
— « Pourquoi viens-tu si tard ? Je m’ennuyais d’attendre. Mon butor de mari est à la foire. Dépêchons-nous ! »
— « Pardon, mignonne ! J’étais en train de semer de l’orge. »
La garce, qui est en chemise, la retrousse jusqu’au nombril, montre son con abondamment velu, et reprend :
— « Que Dieu bénisse ton champ ! Puisses-tu récolter autant de grains d’orge que j’ai là de poils follets autour de ma fente amoureuse ! »
Le curé tire son vis, énorme et rouge, en répliquant :
— « Ce n’est point assez ! Je demande au ciel des épis aussi gros et aussi longs que ce braquemart, dont tu vas faire, six fois de plus, la connaissance. »
Et, malgré sa corpulence, le curé bondit à l’assaut.
Mais alors, le cordonnier sort de sa cachette, et lapide le couple en criant :
— « Attrapez ! Et toi, pourceau de con-