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son royaume. Elle y interdit pour jamais à ses sujettes l’exercice de l’art de la féerie, et leur permit seulement d’inspirer aux hommes l’estime et l’amour des choses bonnes et vertueuses ; et elle-même se chargea d’accompagner et de guider les personnes dans qui elle reconnaîtrait les plus heureuses dispositions.


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