L’or accompagne son message.
Ce coup d’œil
Est l’écueil
Où l’orgueil
Fait naufrage.
Un écrin consomme l’ouvrage.
les regrets.
Dans ce fatal abus du temps,
Elle a consumé son printemps ;
La coquette d’un certain âge
N’a point d’amis, n’a plus d’amants :
En vain de quelques jeunes gens
Elle ébauche l’apprentissage.
Tout est dit,
L’amour fuit,
On en rit :
Quel dommage !
Elmire, il fallait être sage.
L’HEUREUX SUCCESSEUR. COUPLETS. Snvl lir : Qu’en voulez-vous dire ? Chers.unis, sachez mon bonheur : Cette Julie à qui tout L’heureux Damon seul eut son cœur Moi. plus heureux, je lui succède. — Sui ci di ! ■’. le mot est rort bon : Vous serez content du tendron : Car vous succédez à Damon Comme Louis Quinze, Comme Louis Quinze, Car vous succédez a Damon Comme Louis Quinze à Pharamond. ROI : IN. Toujours, toujours, il est toujours le même : Jamais Robin Ne connut le chagrin ; Le temps sombre ou serein, Les jours ■— ra —, le 1 arôme, Le malin ou le soir, Dites blanc, dites noir, Toujours, toujours, il est toujours le même. a pour lui cet air mâle qu’on aime, L’œil on arrêt, — ur le jarret, Plus souple qu’un fleuret, Des reins à la Dalème, ml en couleur, El pour a belle humeur, foujoui toujours, il est toujours le même, Surmou tambour brodant mieux que moi-même, Veux-je un il luron, Jamais il n’a dit non. En plu— d’une façon Il —, iii faire son thème : s’il badine au reston, Quand il travaille au fond, Touj’S, toujours, il est toujours le même. II n’est ici fille ou femme qui n’aime Mon beau gn Beau, c’est-à.lire bon. La dame’lu canton, Connai ■ eus ;, n’en : Mon cœur n’est point jaloux ; Car, en rentrant 1 liez non-, Toujours, toujours, il est toujours le même. Pour en juger, il faudrait être a m me ; (in n’a rien vu Quand on ne l’a pas eu : Le— filles il’Jésu, Du couvent d’Angoulême, (lut plus d’un au eeu Avec mou superflu : Toujours, toujours, il est toujours le même. Pour l’éprouver j’ai plu— d’un stratagème : , 1e vois souvent Qu’il vient le nez au vent : J’affecte, eu lui parlant. Une froideur extrême ; .te change de propos, Je lui tourne 1 dos : Toujours, toujours, il est toujours le mène’. Bobin, dansons ce branle que tant j’aime ! San— le presser, Robin ient |, ; passer. Robin, j’en veux danser t u second, un ti Je veux recommencer, Je ne veUX plus ce--er : Touj’s, toujours, il est toujours le même. Comment, toujours ! dit un grand monsieur blême, On le croira, Mais quand on le verra ; Nos sœurs de l’Opéra iront ee problème : Messieurs, je n’en sais rien ; Ce que je sais forl bien, Toujours, toujours, il est toujours le même. Hier au soir, viens, dit-il, que je’t’aime 1 Robin, hélas ! Cela ne SC peul pas. moi des embarras’.’ Parbleu, le beau système ! Porte ton compliment