52 LES DEIX AMIS.
PA.Ur.IX E.
Que cet aveu soutienne votre courage ! nous en aurons besoin. Sainl-AIbau e.st jaloux. Le sort de votre père rue fait trembler.
MÉI. ACFII.S.
Lui faites-vous , Pauline, l'injure ùe le croire coupable .•*
P.4.UI, INE.
Ab .' ne vovez que njon effroi. ÎNIais nous percîons un temps précieux. Courez à votre père, allez le consoler.
MÉI,ACFII,S.
Je vai.s l'enflammer de courroux contre un traître.
r .*. u L r N E . S'il n'y avoit que Saint-Alban qui l'accusât.... mais mon oncle lui-même.
mélac fils. Votre oncle !
P.AULIXE.
Il va revenir. Tous counoisse/. sa franchise . elle ne lui permet pas toujours de garder avec les mal- heureux les ménagements dont ils ont tant besoin...
MÉLAC FILS.
Vous me glacez le sang.
PAULINE.
Soyez présent aux explications : que votre boa esprit en prévienne l'aigreur. Si voire père est em- barrassé, mon oncle est le seul dont on puisse espé- rer nu prompt secours.
SiÉLAC FILS, froulilé.
Quoi I votre oncle est persuadé...
PAULINE.
Craignez snr-tont de vous oublier avec lui : son- gez que notre sort en dépend, (avec une granilp effu- sion. ) JMon cher Mélac... Dans le péril qui lions mé-
�� �