ACTE I, SCENE X. ar
MÉLAC PERE.
Ce n'est rien.
A U R E L L Y , à Duljius qui sort. Monsieur Dabins, le borderau de tous mes paie- ments en élut pour ce soir. ( Duhius sorl. )
SCENE XI.
MEL AC PERE, AURELLY.
A U R E L li Y, gniciucnl. Je t'ai bien désiré tout-à-1'heurc à l'intendance , ta m'aurois vu batailler...
M i. I, A c p E R E. Contre qui?
AUR £1. li Y.
Ce nouveau noble , si plein de .sa dignité , si gro.s d'argent et si boiifii d'orgueil , qu'il croit toujours »e commettre lorsqu'il salue un roturier.
mÉlAC PERE, tlistnilt.
s Moins il y a de di.stance entre les hommes , plus ils sont pointilleux pour la faire remarquer.
A u R E I, I, Y.
Celui-ci, qui , jusqu'à l'époque de mes lettres de noblesse, ne m'avoit jamais regardé, s'avise de nie complimenter aujourd'hui d'un ton supérieur: «Je « me ilatte (ni'a-t-il dit) que vous quittez euîîn le « commerce avec la roture ».
M É L A c PERE, à part.
Ah ! dieux !
A u R E L r, Y.
Quoi ?
MÉt.Ar PERE, s'cffoiçonl (le rire. Je crois l'enteudre.
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