ACTE .111, se ENE V 1 1. 9.0'i
MADAME MURER, prniant la lettre au Baron. D'houaeur si j'y entends quelque chose. Elle est décachetée.
LE BARON.
Mais apprends-moi comment il peut penser à se marier étant l'époux de ma fille .
D R 1 N K , tout-à-fait trouble.
Quoi, Monsienr.** c'est du nouveau mariage que vous parlez ?
LE BARON.
Et duquel donc .
MADAME MURER, a_yant lu. Ah , le scélérat .' ( Elle porte 1rs luaius à sou visage ; qu'elle couvre lie la lettre cbifiouuée. ) LE BARON.
Qu'est-ce que c'est.»'
DR I N K.
IVIe voilà perdu , je n'ai plus qu'à quitter TAu-
s;letcrre. ( Il sort.)
��SCENE VIIT.
��LE BARON, MADAME MURER, EUGENIE.
��MADAME MURER, avec horreur. 11 nous a trompés indignement ! Ma nièce n'est pas sa femme.
E U <; É N I E , le.s Lras leve's. Dieu tout -poissant ! (Elle tombe daus uu fauteuil.)
MADAME MURER.
Son intendant a servi de ministre, et toute la race infernale de complices.
L i£ BARON, frajipaul ilu pied. Rage! fureur! ô femmes, qu'avez- vous fait.
�� �