i36 EUGENIE.
MADAME MURER, d'un air vain. Il me fait aussi l'bonaeur d'être un peu des miens.
I. E B A R o x.
C'est lui qui nous loge.
LE r, A r I T A I N E ,
Vous avez raison. Je legarilois eu entrant.... Mais ce valet a détourné mon attention.... Eh, parbleu ! c'est un liomuie à lui. .le disois Lieu... .le reconuois tout ceci. Nous avons fait quelquefois de jolis sou- pers dans ce salon : c'est, comme il l'appelle à la française, sa petite maison.
MADAME MURER, fiérciueilt.
Petite maison , monsieur .^
I- E E A R o ïf .
Eh, petite ou grande 1 faut-il disputer sur un raot.^ Il suflit qu'il nous la prête... Il ctoit ici il n'y a {)as une heure.
LE C AT I TA I N E.
Aujourd'Iiui.^ Je Taurois parié à Windsor.
I. E BARON.
Il en arrivoit.
I. E <; A P I T A 1 ÎJ E.
C'est ma foi vrai. J'oubliois que le mariage se fait à Londres.
MADAME MURER ET EDGÉNIE , PU IllèinC tCllipS.
Le mariage .'
UE CAPITAINE.
Oui, demain. Mais vous m'étounez : il n'est pas possible que vous l'ignoriez, si vous l'avez vu réel- lement aujourd'hui.
LE BARON.
Je le savois bien moi.
MADAME MURER, dcdaigneiiscmeiit. Hum.... C'est comme la petite maison. Que vou- lez-vous dire . Quel mariage .•"
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