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Oui, envoyons-le chercher. Holà, quelqu’un… Ah ! j’oublie que je n’ai personne… Un voisin, le premier venu, n’importe. Il y a de quoi perdre l’esprit ! il y a de quoi perdre l’esprit !

Pendant l’entracte, le théâtre s’obscurcit : on entend un bruit d’orage, et l’orchestre joue celui qui est gravé dans le recueil de la musique du Barbier.