mal de me retirer ; je sens que je ne suis pas ici dans mon assiette ordinaire.
BARTHOLO. A demain, toujours : si vous êtes mieux.
LE COMTE. Bazile, je serai chez vous de très bonne heure.
FIGARO. Croyez-moi, tenez-vous bien chaudement dans votre lit.
ROSINE. Bonsoir, monsieur Bazile.
BAZILE, à part. Diable emporte si j’y comprends rien ! et sans cette bourse…
TOUS. Bonsoir, Bazile, bonsoir.
BAZILE, en s’en allant. Eh bien ! bonsoir donc, bonsoir.
Ils l’accompagnent tous en riant.
Scène XII
LES ACTEURS PRÉCÉDENTS, excepté BAZILE
BARTHOLO, d’un ton important. Cet homme-là n’est pas bien du tout.
ROSINE. il a les yeux égarés.
LE COMTE. Le grand air l’aura saisi.
FIGARO. Avez-vous vu comme il parlait tout seul ? Ce que c’est que de nous ! (A Bartholo.) Ah ça, vous décidez-vous,