Page:Beaulieu - Contes d une mere a sa fille.djvu/67

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et les soins empressés prolongeront leurs jours ; ils ont la satisfaction de serrer dans leurs bras les enfans de leur chère Constance, et celle-ci reçoit le prix de sa piété filiale par l’estime respectueuse qu’elle inspire, et par la constante tendresse d’un époux qui croit posséder en elle la première de toutes les femmes.