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de lui procurer les secours et les remèdes que sa maladie nécessitait. Il y consentit, mais en exigeant de Clémentine la promesse solennelle que cette dame serait la seule à qui elle découvrirait son asile et même son existence.

Madame Gélin était très inquiète du retardement de sa jeune amie. Quand celle-ci lui eut raconté ce qui venait de lui arriver, elle se réjouit avec elle de connaître la retraite de l’abbé Ducosquer et de pouvoir adoucir ses maux ; elle jugea qu’ils n’étaient causés que par l’excès de la misère, et que des alimens sains et un régime fortifiant suffiraient pour le rétablir. Le peu d’argent que la vieille dame avait en réserve, fut destiné à se procurer du vin vieux, du chocolat de santé, et de la volaille pour des