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III.

PIERRE.

J’aime, ô terre bénie, où dorment nos aïeux !
Tes lacs d’azur au fond des bois harmonieux
      Où murmure une onde limpide.
Tes côteaux émaillés de hameaux éclatants
Qui se mirent au loin dans les flots transparents
      De ton fleuve large et rapide.

(L. J. C. Fiset.)

Au nombre des hardis colons qui accompagnaient M. de Lavaltrie, lors de son premier voyage au Canada, se trouvait l’arrière grand-père du fermier Jean-Louis Montépel.

Natifs de la haute Normandie et fermiers de père en fils depuis des générations, les Montépel