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tes régulièrement à Regallard, pour sa nourriture et son entretien, ne parla plus à Jean de son inaction ; son genre de vie était admis et elle commençait à trouver naturel que ce fils heureux vécût en rentier, puisqu’il devait l’être un jour.

Mme Picot n’avait qu’un souci, étant dévote, Jean n’accomplissait pas ses devoirs religieux, et elle découvrait des preuves de ses relations coupables avec la servante qui, alors, était la cinquième de la série, — Regallard avait soin de renvoyer les maîtresses de son neveu lorsqu’elles prenaient trop d’autorité dans la maison.