Page:Beauclair - La Ferme à Goron, 1888.djvu/66

Cette page a été validée par deux contributeurs.

si Mme Goron dit-elle à son mari :

— C’était bien la peine de dépenser de l’argent pour te montrer les bestiaux, si tu n’es pas plus content que ça !

Cyrille fit remarquer qu’à Caudebec, le passeur aurait pris dix sous de plus. En effet, il ne s’enthousiasmait pas. On lui avait dit que la viande baissait de prix, que c’en était effrayant, mais il ne voulait pas faire part à sa femme de ses appréhensions, peut-être mal justifiées.