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le loyer et mettre de l’argent de côté.

Comme il fallait acheter des bestiaux, des instruments de travail, elle y emploierait l’argent que devait encore le médecin. La guigne qui la poursuivait semblait être partie avec ce pauvre Cyrille. Peut-être, un jour, pourrait-elle, avant de mourir, laisser à son fils la ferme reconquise et rachetée à l’usurier. Ses parents, à elle, avaient bien fait ainsi.