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jOujltìtii enâuni, é s'abHenîr. vj U volufté nousprd > & nous rend le vray contenterr.ent de l eſprìt, dït Plutarque , déyend de U Conûwnct U mtìmnce de la Sagefe. Celuy knc qui veut faire yrofjjion d efirejd- ■ gí } doit s’abjlenir de toute de bauche , (je fuyr comme autant de maladìes con- Ugmſcs a\t,ÍXvregnene , la Ctlere, le Menſonge , la Medijaxce le Blqſphème , (f l’Impieté.\t/V/ voìtmen ce cenìbat des ſns & de la Nature, il aitde l’averjìott d s’hrûu- Vir ■>& de la peine à ſe •vaincre 5 quil t) accoutum peu d peu , & ìl trouvé- U que ce qui luy fembloit cornme ìm~ fpfible d’abord, luy fira rendn ficile le iemps. Ce íònt les paiolles ûunPayen,dans le traitté qu’il a fait Sf; mbyens de dompter la colere : On jladjoute, que pour en venir à oout3 & de toutes les autres Pas- 10ns qui nous font la guerre , la gface Divine nous cst entiercmenc Cce airc* hn quoy vcritablcmcne D d iij.