'HS Flfd fam obeyr aux Loîx, I .bliquement avec la corde au Goi afin d’être étranglé sur le chatup’ si la Loy n'étoit trouvée bonne ■&: profitable àl’Etac.Que s’il fau’ parlec .des Loix en gençral, íe ^\t1 ray .qu’elles ſont toutes , ou vines , ou Humaines, que celles. •là ſont par Nature , & que celles. cy ſe fondent ſur les Coutumc^ ûà il est à remarquer que les Loix humaines permettent beau. coup de choſes , que la Loy Di. vine dest'end , écant , commc elle est; ,1a perfection de la naturelle ; car les Loix humaines nepuniffent que le fait , & les peehez exter- nes , au lieu que la Loy Divine deffend &.punit les internes, & la volonté même. Ajoutons a tout cccy, quequand Dieu même nau- roit donné aucunes Loix par écrit, ou par ſa Sainte Parole , & quil «eust laissé au Franc - Arbitre des ■homes, de s’en ordonner eux - meſ-
- £p,es afin de yivrc çivilepicnt .les
