itc Que u Clemence fìitestimer. estant mort, & Loiiis appcu' \ la Couronne , futauffi.-toftco N îiſé de quelques particuliets r' I ì’avoicnc toujours ſervy* dans^f I mauvaiſe Forcunc.Parmy ceux-c1 1 il s’en trouva un , qui s’aviſa d* I luy demander la confiſcation d’un Bourgeois d’Orleans, qui s’étost ouvertement declaré contre Loiiis Mais ce Prince genereux , ríesti! manc pas jufte de luy accordetſa lequeíle ; Demander moy.quelque tre chofi , luy dic - il, dr je vousn-. eonmìHray. Pour celle-cy , je ne tuìi ’vous Voîíroyer : ■ car il Jìeroirml 4» ' Roy de France de 'uangerIinjurefaìtem Duc d’Orleansf Par où il voulut doiu jier à connoiílre , quil ſe croyoit,î «bligé dè changer d’humeui , en changeant de dignité. Cela ne luy ſembla pas affez encore ; &: par une extraordinaire grandeur de- courage il déclara publiquement, Quil rï entendoit foint changer le Con- Jeil ny- les Gardes > non plus que les:
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