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dji d) trvf fíH P ftflCét ^ , > -cova genereufement a Glcojpatr^-. Et encore le grand Auguste, qui" durant qu’il étoit en EfagM , avant ni* à un mifflort de íester- ces la teste de Corocottà , pouì le faire punit de fes vollerics, luy pardonna ſes crimes depuis , par- ce qu’il ſe vint rendfe a luy vo-* lontairement , & luy fit donnef de plus la ſomme quil avoit pro-* mife à ceux qui le pourroieríc prciidre , à eauſe, dit-ii, que Co- rocotta avoit amené Gorocottai A tous ces exemplcs, que Lipíc- deduit au long, j’en pourrois join- dre quantité-d’auttes : mais je me contenteray de eelûy de toíiís XIL Roy de France.’LHistoirè r'aporte- que Charles VIII. dont la Couron-^ ne luy devoit estre hereditaire , a* raute d’enfans, le traittoitíì mal qu il etoit en dan'gef de ſa vie, ſans’ avoir aucun ſupport des Granck l\t'\t4ui\thiivoient\ttous- P.affion de leur máistre. Charlest L iij