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3ue Ufsumté s'opptfi kk •ble racheux, c est qu’il arrivesou- vent que ceux que la Nature a fait naistre aux Sciences, U qui mcme y ont de tres-bohs commcncç-, ancns, ſopt contraints de tout qui!— les j &i de ceder a la. tytannie de U Necessité. Que s’ils ſe roidissent contre , ce n’est , comme j’ay dit cy-devant ^quepar le moyen d'une haute Vertu , d’un travail conú- nuel x & d’une patience extraordi- naire , qu’ils s’ouvrent un chemin à la continuation de leurs études. Par où je conclus, que c’est un grand avântage aux Sçavansde. n’estre point dépourveus de cequ il leur fàut, pour mieux cukiver les Sciences j-Et à ceux qui afpirent- à. le. deyenir d’avoir dequoy le faire , on par le bien de leuÇ;i«SH ſon,ou par. celuy qu’ils reçoivent de leurs amis , & de la gcncrotke des hommes Illusttes.