ì°6 mtrquei â’Homeur jour Empereur. Etans donc rayis ' de cette bonne fortune, iUs’eDre. Joument avec luy , & paffistenc à argent t pour aehever ſon voya_ ge a condition qu il ſe fouvien- droit d’eux à ſon avenement àl’Em. pire. Ce preſage fut grand,àvray diie, mais il eut cela de merveil. Jeux par deflus les autres, qu’iLluy arriva derechef, de meſme qu au- paravant. II s’en alloit en Affrique, îous la conduitte d’Aſpar , quand il s’y donna une ſa’nglante bataille . contré le Roy GenzetiCr 11 y cut quantité de pnſonniers de part U d’autre ; du nombre dcſquels fut Marcian , que la violence de h chaleur apeſantit de ſommeiî, & le fit coucher par cerre ; Oùcom- me il dormoit avec quelques au¬ tres , une Aigle vola íìrr luy puf la ſeconde fois, étcndant les aiflcî en haut, d’où elle luy faifoit o®* bre en la preſence des gens deguer- re G^nzeric mcſrne[y prit gardc, 8í le mic en liberté, luy rccomma*
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