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tiïlcmrsdeUmrre.\tif* m de gens- de cheval 8C depied, se mit à dire par rarllenc , que ee Ctúuìne avtitwritoblententde.s mains é des imbes, mâspint de ventrt par où il faiſoit alluíion a largervt, qui ejlle nerfdelaguerre , comme il nous^eft repreſenté par cec Em-r biéme. Anfíì nefut-cepasſans ſii- }£t 4 que Demadcs preíſé par les Athenìens d’armer ſur Mer , á’y mectre une puiíſante flocte , vvìU qui cjl bon y leur répondit-il, tiMÌs ce/a ne ſe peut, ſ nous navons desſnmts. Cette vericé ne ſe pou¬ voit dementir , puis qu’affeuré-* raent rHiftoireôcl’cxper ience nous ; apprennent, que les grandes entrepri- r ſes nontpint de fucce'z à faute dar- ffMy & que pour en avoir, les gens e Ìperre; âbandennent ſouvent leur 's** Ftkr McÌiement dans j { es £nnehis :■ Car où Vefpoir c’est3i^C> butil1 les attire , lonte7 ?U,or^mad‘ement leurs to- nent< curs courages ſe tourj