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les ſeCYùfs des Cìeux, °en quelque licu qu’ils puiffent ai~ , À t Par ûw fttreur wjensee j lls ſentent U fiamrne à le fef i Ftfortmt par tout leur fensee » par tout ìlsfortent leur Enfer. Les hommes ,-dit Platon} doi- vent à Promethee l’ufage du feu , & ont appris de Vulcan tout cc qu ils ſçavent dans la Mechanique. Quelqúes-uns ont crcu que Pro- methée fut un grand Devin , qui avertit Iupiter , qu’il n eust rien à déméler avcc Themis. Or bien que tout cela tìenne de laFable, ſiest- ce qu’un ancien Authcur veut .qu’il ait quelque rapport avec l’Histoi- re î dans les notes qu’il a faitcs ſur AppoUonius Rhodien. U met en avant à ce propos , que ee qui «onna Jlcu au ſUppijce promc^ t ee , a qui un Oiſeau de prove ongcoit ſans eesse le cœur , tut q“ily avoitett Scythieune cctl e n*rac(ju'onappcUoit Aiglt, T iij