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•tídut plus qut Ufint* lY) de ſon Empire étans venus : je TOUS ay appellez, leur diul, ahn qu’il ne ſemble pas que je rastenen. (áns en prendreavis. Penicz, nean- moins à m’obeir y non pas a me conſeiller -, car de ce que j’ay a ’• faire, le ſort en est jetté, & la re- ſolution priſe. 11 eut mieux fait pourtant d’aYoit un peu moins bon- - neopinion de ſoy-même , de ne géner point les ſentimens de ceux - qui ne vouloient que ſon bien, 5c de ſe ſouvenir qu’en un Conſeil tout doit estre librc •, le lieu , les • hommes , les opinions & la veri. te ; pourveu toutesfois quon ſe ■ { rienne dans les bornes du devois. & de 1a moderation. Ainſi toure cette grande puistance qu’avoit ce Pnnce, luy fut inutilc, patcc qu’eU- c'™duitc. & que le Çonfal 1 emporte fut la Fotce Cc- - "? e!l íprf pr cette Go- íemhl’ que plufieur! homm« en- - ſ™ble « pouvoient ébranfac Mijj