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D l oî, j>)u il y a des hommes ?isa de faire publier une Lov qui d’abord sembloic utile à léffard ^ des particuliers, mais qui en effet etoit mauvaiíe de ſoy,& domm* geable au publie. La pluſpart du Senat y conſentoit neanmoios)& Gaton étoit le ſeul qui s’y opp0. ſoit courageuſement. Ce qui de. plcût ſi forc à Ceſar , que pour le ranger par la force , il le fit enle- ver de la place aux Rostres, & mener en priſon , ſe ſervantpout cét effet du pouvoir & de Tautho- rité de ſa charge. Comme on U menoit donc, il perſistoit toujours plus fort en son opinion , & s’en alloit publiant par les ìiies : que cette Loy ne valoit rien pourl’E- tat, & qu’il y avoit là-defïus quan- tité de fourbcrics Sc de fineíſes cachées. Ce diſant, comme il é- toit fur le point d’entrer enpnfon, où la plupart des Senateurs , & lós premiers de la ville l’accompa- gnoient,Ceſar changea de rcſolu-