Une cure du docteur Pontalais. C’est l’histoire d’un saint, converti à l’athéïsme par un jeune médecin. C’est une infamie, écrite par un sot. C’est digne de la femme Sand.
Encore une fois, mille pardons, et mes respects à Madame Ancelle.
En tout cas, dimanche, je m’empaquetterai la tête, et j’irai à la poste. Peut-être la poste prend-elle des paquets pour poste restante.
Je serais bien heureux de recevoir vos deux réponses (le paquet, par le chemin de fer, — à moins que la poste ne s’en charge, — et la lettre chargée, par la poste restante) dimanche, veille de Noël. Mais je crains bien que vous ne puissiez faire tout cela en deux jours.
Mon cher ami,
Je vous remercie. Je suis sorti ce matin, pour aller à la poste, et pour chercher un emballeur pour les objets que je veux envoyer à ma mère.
J’ai un peu de vague dans la tête, du brouillard et de la distraction. Cela tient à cette longue série de crises, et aussi à l’usage de l’opium, de la digitale, de la belladone et de la quinine. — Un médecin, que j’ai fait venir, ignorait que j’avais fait autrefois un long usage de l’opium. C’est pourquoi