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CHARLES BAUDELAIRE

Pourvu que ce soient les dernières fois que j’aie à demander l’hospitalité à un journal quelconque, j’ai horreur des rédacteurs en chef, même quand ils sont mes amis.

J’ai deux autres grands ouvrages commencés, mais je sens que je ne les ferai bien qu’à HonQeur. C’est une série de nouvelles, toutes apparentées entre elles, et un gros monstre, traitant de omni re, et intitulé : Mon cœur mis à nu.

Tout à vous, mon cher Lemer^ et ne m’oubliez pas.

Réflexions sur quelques-uns de mes contempo- rains est bien long. On pourrait supprimer Réfle- xions sur. J’ai voulu, avant tout, éviter les mots artistique et littéraire, qui tuent le débit d’un livre.

LES PARADIS ARTIFICIELS

r vol. M’appartiennent. Edition épuisée. Tables des matières

I. — Le poème du haschisch. — i. Le Goût de rinfirii.

— 2. Qu’est-ce que le Haschisch ? — 3. Le Thé- âtre de Séraphin. — 4- L’Homme-Dieu. — 5. Mo- rale.

II. — Un mangeur d’opium. — i. Précautions oratoires.

— 2. Confessions préliminaires. — 3. Voluptés de l’opium. — 4- Tortures de l’opium. — 5. In Faux dévouement. — 6. Le Génie-enfant. — 7. Chagrins d’enfance. — 8. Visions d’Oxford. — 9. Conclusion.