LETTRES l8C5 897
uis. Il vient de publier dans la Revue des Deux
inndes un article sur La Recherche du bonheur. La vérité est qu’il a disparu pendant un assez long ; — temps, sans dire à personne où il allait. Et, comme il a déjà montré quelques bizarreries, on acru qu’il
était tué.
Je suis bien aise que le fds de Dumas se marie^ J’espère que les douleurs du mariage le puniront de [
I détestable littérature. 1
Tout à vous.
Je vous recommande bien mes trois petites com- missions. En avez-vous compris rimportance ? Les objets laissés en dépôt, c’est toujours inquiétant.
A MADAME PAUL MEURIGE
Mardi, 3 Janvier i865.
Chère Madame,
Il me serait très désagréable, il m’est même défendu de laisser une nouvelle année commencer, ans vous la souhaiter bonne et heui^use. Nous ivons tous besoin de ce souhait, et, pour mon ompte, j’éprouve une espèce d’affection pour les jens qui me présentent leurs compliments de nou- ^ elle année d’une manière agréable.
Dois-je vous dire combien je vous aime ?
Dois-je vous dire combien je souhaite pour vous le repos, la prospérité, et ces plaisirs calmes qui sont nécessaires, même aux âmes les plus viriles ?
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