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352 CHARLES BAUDELAIRE

J’ai un remords, je relis votre lettre pour la troisième fois, désirant sincèrement trouver le moyen d’exécuter ce que vous me demandez, mais votre lettre est inintelligible pour moi : quels pou- voirs T et L ont-ils à me transmettre ?

A THÉOPHILE GAUTIER

21 Août i8ô3.

Oui, certes, assurément.

J’ajouterai même que ce Monsieur Rodolfo me tourmente, et que je ne suis pas exempt de jalou- sie à son égard. Il me semble que, dans une cir- constance aussi solennelle, tu aurais pu penser à utiliser les talents de ton dévoué

baldélario.

[a taine.]

6 Octobre i863.

Cher Monsieur,

Je vous serais très reconnaissant, si vous pensiez à moi.

J’ai une grosse affaire à conclure avec Michel, et il ne veut pas conclure, avant d’avoir la préface à’ Eurêka, d’un côté, et, de l’autre, quelques pages de moi qui lui manquent pour son cinquième volume.

Je suis affreusement affaire. Croyez que sans cela j’irais vous voir fréquemment.