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pour l’affaire M. On acceptera un renouvelle- ment de M, pourvu qu il soit endossé par moi. Je n’aui’ais jamais cru que ma situation eût uiie valeur quelconque, aux yeux de n’importe qui. Dans la soirée, j’ai cherché Padresse de M, et je Tai trouvée.

Je lui écris tout de suite, mais pourrai-je arra- cher une réponse à cet être incompréhensible ?

De Broise sait tout cela. Il a maintenant entre les mains, 1.860 fr.

Vite, très vite, cher ami, votre réponse, et votre avis. De Broise m’a beaucoup entretenu de votre situation. Je persiste à la trouver bonne, c’est à <liro pouvant devenir très bonne.

onsez à J, à G, consultez votre mère ; et, relativement à moi, pensez au cas où par la faute de M, pour le billet de 5oo, et ou par la faute des l\oo fr. de Londres, je n’aurais votre complé- ment qu’après le 10.

Je ne parle pas du billet de 35o, bien que j’aie . ’intention de m’en occuper demain, avant votre réponse.

.11 tout cas, si vous croyez bon que, pour vos iilaires, votre beau-frère, appuyé sur J, voie j, il Hnif rnie ce soit après le 10.

A POULET-MALASSIS

Lundi, 7 Janvier 18G1.

J n’a pas voulu du 35o. Je le garde ;

oit chez T, soit chez G, il servira.