dant quelques heures, 3oofr., jusqu’à ce que j^aie iché les 000 i Tout à vous.
louché les 000 fr. de Grandguiliot.
A POULET-MALASSIS
20 Novembre 1860.
Mon cher ami,
Que je sois payé très cher, et que je sois payé cm fur et à mesure (grande garantie d’activité), deux propositions qui doivent venir de vous, comme me connaissant très bien.
M. Stœpel viendra me voir aujourd’hui, à 4 h. Je le renverrai à vous ; ou il ira vous voir, ou il vous priera de Taller voir, à une heure déterminée.
Je viens de renvoyer au correcteur de Simon Raçon toutes les pages où il y avait des fautes : lettres tombées, lettres cassées, fautes d’orthogra- phe ; il y en avait bien d’autres, particulièrement celle-ci : XI, au lieu de XXI.
Tout à vous.
A POULET-MALASSTS
Mon cher ami,
M. Robert Stœpel a voulu encore, ce soir, mardi, entamer la question d’argent, et j’ai vu qu’il crai- gnait une demande trop forte. Tout en sauvegar- dant vivement mes intérêts, soyez aussi poli et gracieux que possible. M. Stœpel a l’air d’un galant