Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/217

Cette page n’a pas encore été corrigée

nous allons en Italie pour étouffer Thydre révo- lutionnaire. Voilà, pour parler sérieusement, de l’hypocrisie inutile.

A POULET-MALASSIS

i3 Juin 1859.

Vous avez bien tort de ne jamais m’ëcrire, car, i, je n’entends pas une parole humaine.

Et le livre autrichien ?

Vous me direz ce que vous pensez de mon Salon. X mon Gautier ’î

Dans peu de temps, je vais pouvoir vous livrer »lre Opium et Ilaschisch^QV, peu de temps après, s Curiosités complètes, qui seront suivies des yVo ? /-

lles Fleurs,

Enfin, j’ai fait une nouvelle, basée sur l’hypo-

lîièse : découverte d’une conspiration par un oisif,

ni la suit jusqu’à la veille de l’explosion, et qui,

lors, lire à pile ou face, pour savoir s’il la décla-

. era à la police.

Mon drame va bien, et il faut même, à cause de ola, que j’aille à Paris. *

Je pense sans cesse à vos 3. 000 fr. Je crois pou- < »ir espérer ^et je vous expliquerai cela, quand je ous verrai) que je vous les remettrai en Septem-

…….jo aller à Paris, sans crainte ? Sans in- quiétude ? Je fais allusion au billet de 43o (43o ?), [1 !! K), et à la promesse de renouvellement