LETTRES 1808 171
sur moi, comme vous en aviez l’intention (je viens de penser à celte niaiserie), et que je vous prie sim- plement d’être exact ?
Gomme vous avez l’esprit bizarre, il faut que je vous supplie de ne voir ici ni une épigramme, ni une câlinerie.
Vous avez eu tort de couronner l’explication de
s craintes par des récriminations contre les in- discrets. Pourquoi voulez-vous que je porte des fautes qui ne sont pas les miennes ?
Tout à vous. Répondez-moi, 2 2, rue Beautreillis, et (ont de suite. Vous devinez sans doute dans quel ’^tat je suis.
Bonjour à de Broise, j’espère bien que vous ne i racontez pas tout cela.
Si vous ne me répondiez pas, 22, rue Beautreil- ’■'■•, la lettre ne m’arriverait que/or^ tard.
A POULET-MALASSIS
9 Décembre i858, G h. 1/2 du soir.
Mon cher ami,
J’attendais un mot de vous, ce matin, — et puis,
soir. — Or, pour mes affaires littéraires, je
suis obligé de voir Galonné, demain. — Que vais-
’" lui dire, sans réponse de vous ? La teneur de
Ire réponse devait évidemment diriger une con-
rsation avec lui. Ecrivez-moi donc un magnifique
iioiiy non, pas de billets de moi, pas de billets de
vouSy pas de billets Galonné : alors, je serai con-