LKTTIVES — i856 97
dans l’hôtel de ce misérable que MM. Havin et Léon Plée prennent pour un grand poète.
Mettez-moi de côté tout ce que vous accrocherez de Laclos et sur Laclos.
Vous recevrez ceci demain matin mercredi ; je serais heureux, si je recevais votre paquet jeudi matin.
Si je ne craignais pas que vous me traitiez de maniaque ou d’insolent, je vous parlerais encore de
lelques monnaies que je vous dois. Mais il sera toujours temps de vous fâcher, quand vous viendrez à Paris.
Bien à vous.
Si vous voyez le seigneur Asinarius, guérissez- ’ ' de ses superstitions grossières relatives à moi.
A POULET-MALASSIS
Le II Décembre i856. Cher ami,
Voici votre reçu. Votre billet est chez Tenré,
s, rue Laffitte, en qui j’ai trouvé un ancien cama-
ide de collège, et qui a bien voulu ne pas tenir
)mpte des vingt jours de trop dont le billet est
âgé. Cependant, il m’a demandé deux jours. S’il
rend le billet, je profiterai alors de votre olFre, et
de votre bon vouloir.
Tout à vous.
Heçu de M. Pouiel-Malassis, imprimear-iiôraire