Page:Baudelaire - Les Paradis artificiels, Conard, 1928.djvu/55

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

prodigalité impie avec laquelle vous avez dépensé le fluide nerveux. Vous avez disséminé votre personnalité aux quatre vents du ciel, et, maintenant, quelle peine n’éprouvez-vous pas à la rassembler et à la concentrer !