Page:Baudelaire - Les Fleurs du mal 1857.djvu/244

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Mollement balancés sur l’aile
Du tourbillon intelligent,
Dans un délire parallèle,

Ma sœur, côte à côte nageant,
Nous fuirons sans repos ni trèves
Vers le Paradis de mes rêves !