Cette page a été validée par deux contributeurs.
Mon cœur est un palais flétri par la cohue ;
On s’y soûle, on s’y tue, on s’y prend aux cheveux.
— Un parfum nage autour de votre gorge nue ! —
Ô Beauté, dur fléau des âmes ! tu le veux !
Avec tes yeux de feu, brillants comme des fêtes,
Calcine ces lambeaux qu’ont épargnés les bêtes !