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LES FLEURS DU MAL


Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive,
Elle laisse filer une larme furtive,
Un poète pieux, ennemi du sommeil,

Dans le creux de sa main prend cette larme pâle[/,] [ne serait il pas bon de mettre ici une virgule ?]
Aux reflets irisés comme un fragment d’opale,
[Et la] met [dans] son [cœur] loin des yeux du soleil. [il me semble qu’il y a là quelque défaut dans les caractères]