tor et à la Decamps. Pourquoi donc M. Guignet… ?
MEISSONIER
Trois tableaux : Soldats jouant aux dés — Jeune homme feuilletant un carton — Deux buveurs jouant aux cartes.
Autres temps, autres mœurs ; autres modes, autres écoles. M. Meissonier nous fait songer malgré nous à M. Martin Drolling. Il y a dans toutes les réputations, même les plus méritées, une foule de petits secrets. — Quand on demandait au célèbre M. X*** ce qu’il avait vu au Salon, il disait n’avoir vu qu’un Meissonier, pour éviter de parler du célèbre M. Y***, qui en disait autant de son côté. Il est donc bon de servir de massue à des rivaux.
En somme, M. Meissonier exécute admirablement ses petites figures. C’est un Flamand moins la fantaisie, le charme, la couleur et la naïveté — et la pipe !
JACQUAND
fabrique toujours du Delaroche, vingtième qualité.
ROEHN
Peinture aimable (argot de marchand de tableaux).