Page:Baudelaire - Correspondance générale, Conard, t1, 1947.djvu/12

Cette page n’a pas encore été corrigée

cultés. M. Marcel Bouteron à la collection Spoelberch de Lovenjoul, M. J. Cbassaing de Borredon aux Archives nationales, M. Frantz Calot à l’Arsenal, M. Jean Adbémar au Cabinet des Estampes, mademoiselle Dormoy et M. Jules Mouquet à la Bibliothèque Jacques Doucet, M. Hubert Delesalle, de la Direction des Musées, mademoiselle Damiron à l’Institut d’Art et d’Archéologie, M. Cambier aux Archives du Ministère de la Guerre et M. R. Jouanne à celles d’Alençon, ont facilité nos enquêtes et vérifications et même en ont fait pour nous. Pour nous aussi madame C. Daubray a fouillé la correspondance de Victor Hugo et M. Henri Martineau l’œuvre de Stendhal. À Bruxelles, MM. Camille Gaspar et Gustave Charlier, à Londres, M. Randolph Hughes, aux EtatsUnis, M. W. T. Bandy se sont employés à nous procurer inédits et renseignements. De son Université de Yale, M. Albert Feuillerat, pour le classement de notre correspondance, nous a fait profiter de l’expérience qu’il avait acquise en traitant de Baudelaire et sa mère et de Baudelaire et la Belle aux Cheveux d’or, — deux études dont il faut espérer, soit dit en passant, qu’elles seront bientôt introduites en France.

Les libraires et experts en autographes nous ont pareillement été d’un secours très efficace. C’est à l’inlassable complaisance de M. Pierre Comuau et de M. Castaing (Maison Charavay) que nous devons d’avoir retrouvé la trace de bien des lettres disparues du marché parisien depuis plusieurs décades. M. Maurice Cbalvet, lui aussi, nous a beaucoup aidé dans ces investigations. MM. Pierre Bérès, Georges Blaizot, Carteret,