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— Nous irons voir nos femmes,
fanfru-cancru-lon-Ia-lahii’a,
Nous irons voir nos femmes,
Les ceux qui en auront ; (bis)

Y a plus que le p’tit Pierre,
fanfru-cancru-lon-la-lahira,
Y a plus que le p’tit Pierre,
Mais nous le marierons. (bis)

Avec la fill’ du maître,
fanfru-cancru-]on-la-lahira,
Avec la fiU’ du maître
Qui-z-est ici présent. (bis)

Nous irons à la noce,
faufru-cancru-lon-la-lahira.
Nous irons à la noce
Gomme tous les parents. (bis)

L’an d’après, sur la bille,
fanfru-cancru-lon-la-lahira.
L’an d’après, sur la bille,
Joueront les p’tits enfants. (bis)

Car rien n’est si-z-aimable,
fanfru-cancru-lon-la-lahira.
Car rien n’est si z-aimable
Que les scieurs de long". (bis)


[Notes (i).]

L’Ivrogne. — Ne pas oublier que l’ivresse est la nég^ation du temps, comme tout état violent de l’esprit, et que conséquemment tous les résultats de la perte du temps doivent défiler devant les

(i) Collection Crépet.